Statistics Explained

Archive:Introduction à l’Annuaire régional


Données extraites en mars 2019.

Mise à jour prévue de l’article: septembre 2020.

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Les statistiques régionales permettent des comparaisons infranationales de données. En effet, grâce à ces statistiques, il est possible de comparer des informations issues des plus petits États membres (tels que Malte) avec celles issues de régions de plus grands États membres.

L’Allemagne et la Pologne présentent des schémas de développement polycentriques, plusieurs villes de taille relativement grande étant disséminées sur l’ensemble de leur territoire, tandis que la France et le Royaume-Uni sont davantage monocentriques.

Eurostat, l’Office statistique de l’Union européenne (UE), recueille, compile et publie des statistiques pour les agrégats de l’UE et de la zone euro, ainsi que des données nationales, régionales et infranationales, principalement pour les États membres de l’Union, mais également pour les pays de l’AELE et les pays candidats.

L’objectif de cet Annuaire régional d’Eurostat est de donner une idée du large éventail de statistiques européennes qui sont collectées sur les régions et autres nomenclatures infranationales pour une grande diversité de thèmes.

Full article

Statistiques infranationales

Les États membres de l’UE sont souvent comparés entre eux, mais en réalité, il peut s’avérer très difficile de comparer un petit pays tel que Malte, qui comptait 476 000 habitants au 1er janvier 2018, ou le Luxembourg, qui en comptait 602 000, à des États membres de plus grande taille tels que l’Allemagne, pays le plus peuplé de l’Union européenne avec 83 millions d’habitants. Il est souvent plus pertinent de comparer les données au niveau régional ou infranational, et une telle analyse peut également mettre en évidence des disparités au sein des pays, tels que l’écart entre l’est et l’ouest en Allemagne ou entre le nord et le sud en Italie. Par ailleurs, de telles analyses peuvent révéler des différences dans les schémas de développement économique. Par exemple, l’Allemagne et la Pologne présentent des schémas de développement polycentriques, plusieurs villes de taille relativement importante étant disséminées sur l’ensemble de leur territoire, tandis que la France constitue un exemple de schéma de développement plus monocentrique, étant donné que son activité économique est davantage concentrée dans la capitale (Paris) et autour de celle-ci.

Au cours des dernières années, Eurostat a élargi l’éventail des statistiques qu’il fournit pour couvrir d’autres typologies territoriales, au-delà des informations régionales, répondant ainsi aux besoins croissants des décideurs dans le cadre des politiques de cohésion et de développement territorial. Ces changements s’appuient sur l’harmonisation et l’intégration des différentes typologies dans deux vastes catégories, à savoir celles liées aux statistiques régionales et celles liées aux statistiques sur les unités administratives locales (LAU ou municipalités), la consolidation législative étant obtenue au moyen d’un règlement modificatif (UE) 2017/2391 qui porte sur les typologies territoriales (Tercet). Parmi les typologies régionales élaborées, citons les suivantes: régions urbaines–rurales (en anglais), régions métropolitaines, régions frontalières, régions côtières, régions insulaires, régions montagneuses et régions ultrapériphériques. Certaines des typologies fondées sur des statistiques au niveau local comprennent des données reflétant le degré d’urbanisation ou des données sur les zones urbaines fonctionnelles (FUA).

Tableau 1: typologies territoriales — aperçu
Source: Eurostat, règlement (CE) nº 1059/2003

Pour en savoir plus:

Methodological manual on territorial typologies, Eurostat (2018; en anglais)

Statistiques sur les régions

Au cœur des statistiques régionales se trouve la nomenclature NUTS, la nomenclature des unités territoriales statistiques. Il convient de noter que, depuis la dernière édition de la publication, la version 2016 de la nomenclature NUTS a été mise en place. La nomenclature régionale NUTS pour les États membres s’appuie sur une hiérarchie des régions: elle subdivise chaque État membre en régions classées selon trois niveaux différents, NUTS 1, 2 et 3, de la plus grande région à la plus petite. Certains États membres de l’Union européenne ayant une population relativement réduite ne peuvent pas être subdivisés selon certains (voire selon l’ensemble) des différents niveaux de la nomenclature NUTS. Par exemple, l’Estonie, Chypre, la Lettonie, le Luxembourg et Malte sont, chacun, considérés comme une seule région au niveau NUTS 2 selon la version 2016 de la nomenclature NUTS. Parmi les pays tiers concernés par la présente publication, c’est également le cas en Islande, au Liechtenstein, au Monténégro et en Macédoine du Nord: chacun de ces pays est considéré comme une seule région de niveau NUTS 2. Le tableau 2 donne un aperçu du nombre de régions NUTS et de régions statistiques de chaque État membre de l’Union européenne et pays tiers figurant dans l’Annuaire régional d’Eurostat.

Tableau 2: Nombre de régions NUTS 2016 et de régions statistiques par pays
Source: Eurostat

La plupart des statistiques régionales présentées dans l’Annuaire régional d’Eurostat concernent des régions de niveau NUTS 2. Toutefois, en fonction des données disponibles, certains tableaux, graphiques et cartes concernent soit des régions de niveau NUTS 1 (informations géographiques plus agrégées) soit des régions de niveau NUTS 3 (niveau d’informations régionales le plus détaillé). Les statistiques plus détaillées ne sont disponibles que pour un nombre limité d’indicateurs, dont ceux concernant l’agriculture, la démographie, les comptes économiques, la démographie des entreprises et le transport.

Dans certains cas spécifiques (normalement liés à la disponibilité limitée des données), des régions particulières sont présentées en utilisant un niveau NUTS différent par rapport au reste des régions du même tableau ou graphique ou de la même carte – ces changements sont indiqués dans les notes de bas de page et sont généralement apportés afin d’améliorer la couverture des données. Lorsqu’il existe peu ou pas de données régionales pour un État membre particulier de l’Union européenne, les données nationales ont été utilisées; ces exceptions sont également indiquées dans les notes de bas de page.

Le règlement et la nomenclature NUTS

La nomenclature NUTS est définie dans le règlement (CE) nº 1059/2003 du Parlement européen et du Conseil, qui doit être modifié par un règlement de la Commission européenne à chaque fois que la nomenclature est mise à jour (lorsqu’une nouvelle version de la nomenclature NUTS est nécessaire). Le règlement NUTS prévoit une période minimale de stabilité de trois ans au cours de laquelle aucune modification ne doit être apportée à la nomenclature, sauf pour inclure de nouvelles régions lors de l’adhésion d’un nouvel État membre à l’Union. Depuis 2003, la nomenclature NUTS a été modifiée à plusieurs reprises, en partie dans le cadre des modifications régulières, en partie du fait de l’adhésion à l’Union de nouveaux États membres ou de modifications des frontières territoriales des États membres existants (par exemple, l’inclusion de données pour la région française de Mayotte).

La quatrième modification régulière de la nomenclature NUTS règlement (UE) 2016/2066 de la Commission a été adoptée en décembre 2016 et s’applique aux données collectées pour les périodes de référence à partir du 1er janvier 2018. Appelée NUTS 2016, cette version de la nomenclature NUTS constitue la base de la classification des statistiques régionales utilisées dans l’édition 2019 de l’Annuaire régional d’Eurostat. Il convient de noter que pour les séries chronologiques, il est possible que les données présentées dans la présente publication aient souvent été recueillies sur la base d’une version précédente de la nomenclature NUTS et que ces statistiques aient été recodées en conformité avec la version de 2016. Il existe par conséquent un petit nombre de régions pour lesquelles les données ne sont pas toujours disponibles, notamment lorsqu’il n’a pas été possible de recoder ou d’agréger les données établies à partir de versions précédentes de la nomenclature NUTS (en raison de modifications des frontières).

Comme indiqué ci-dessus, la nomenclature NUTS a également été modifiée par le règlement (UE) 2017/2391 en ce qui concerne les typologies territoriales (Tercet), lequel instaure une nomenclature statistique commune des unités territoriales afin de permettre la collecte, l’établissement et la diffusion de statistiques européennes aux différents niveaux territoriaux de l’Union européenne.

Grands principes de la nomenclature NUTS

Principe 1: le règlement NUTS définit des seuils démographiques minimaux et maximaux pour la taille de chaque région NUTS (voir tableau 3). Il ne peut être dérogé à ces seuils que pour des motifs géographiques, socio-économiques, historiques, culturels ou environnementaux particuliers.

Principe 2: la nomenclature NUTS privilégie les divisions administratives. Si elles existent, les structures administratives sont utilisées pour les différents niveaux de la nomenclature NUTS. Dans les États membres de l’UE où il n’existe pas d’échelon administratif correspondant à un niveau particulier de la nomenclature NUTS, des régions artificielles sont créées en regroupant des régions administratives plus petites.

Tableau 3: Contraintes de taille de population pour les régions NUTS 2016
(en nombre d’habitants)
Source: Eurostat

Dans la même optique que celle de la nomenclature NUTS, des régions ont également été définies en accord avec les pays membres de l’AELE et les pays candidats sur une base bilatérale; ces régions sont appelées «régions statistiques» et suivent exactement les mêmes règles que les régions NUTS de l’Union européenne, excepté qu’elles n’ont pas de base juridique.

Statistiques par degré d’urbanisation

Le degré d’urbanisation (en anglais) est une classification introduite en 1991 qui visait initialement à distinguer les zones à forte densité de population), les zones à densité intermédiaire et les zones à faible densité de population; la définition de ces zones reposait sur le nombre d’habitants, la densité de population et la contiguïté des unités administratives locales (LAU ou municipalités).

En 2014, une nouvelle classification par degré d’urbanisation a été introduite. Cette nouvelle classification s’appuie sur trois types de zones qui sont définis en fonction de la combinaison d’un critère de proximité géographique sur la base d’un carroyage de population de 1 km² et d’un seuil de population minimal (voir le tableau 4 pour un résumé des concepts spatiaux utilisés). La classification révisée distingue les villes (zones à forte densité de population, les villes moins peuplées et banlieues (zones à densité intermédiaire), et les zones rurales (zones à faible densité de population) — tous ces termes du glossaire sont disponibles seulement en anglais; la carte 1 montre la répartition de chacune de ces zones dans l’UE. Dans la présente édition de l’Annuaire régional d’Eurostat, les statistiques par degré d’urbanisation sont utilisées dans les chapitres sur la santé, l’éducation et la formation, le marché du travail, l’économie et la société numériques, le tourisme et les villes.

Carte 1: Degré d’urbanisation des unités administratives locales (LAU)
Source: Eurostat, JRC et direction générale de la politique régionale et urbaine de la Commission européenne

La révision de la classification par degré d’urbanisation a également permis de rationaliser et d’harmoniser plusieurs concepts spatiaux similaires mais non identiques, par exemple, l’utilisation du concept de centres urbains (en anglais) pour recenser les villes européennes comptant au moins 50 000 habitants, ou l’agrégation de données pour les villes et pour les villes moins peuplées et banlieues qui sont couvertes par l’intitulé commun de zones urbaines (en anglais).

Tableau 4: Concepts spatiaux utilisés dans le degré d’urbanisation
Source: Eurostat, direction générale de la politique régionale et urbaine de la Commission européenne, OCDE
Carte 2: Densité de population sur la base de la grille de la population GEOSTAT, 2011
(en nombre d’habitants par km²)
Source: JRC, Eurostat, grille de la population GEOSTAT pour 2011

Pour en savoir plus:

Methodological manual on territorial typologies, Eurostat (2018; en anglais)

Statistiques sur les villes

Les villes européennes sont confrontées à divers défis, qui vont de la pauvreté, de la criminalité et de l’exclusion sociale à l’étalement urbain, à la pollution et à la lutte contre le changement climatique. En revanche, les villes présentent également un potentiel considérable pour attirer les investissements, les personnes et les services, stimulant la recherche, la créativité et l’innovation. Les villes peuvent donc être considérées à la fois comme la source de certains des problèmes économiques, environnementaux et sociaux les plus urgents dans l’UE et comme la solution à ces problèmes; elles jouent ainsi un rôle essentiel dans la stratégie Europe 2020 pour une «croissance intelligente, durable et inclusive», élaborée afin de renforcer la productivité et la compétitivité de l’UE tout en soutenant une économie sociale de marché durable.

Les villes ont pris plus d’importance dans le débat politique, tant au niveau européen que mondial. Le programme urbain pour l’UE (en anglais) a été approuvé en 2016. Il repose sur trois piliers: l’amélioration de la réglementation, l’amélioration du financement, et l’amélioration des connaissances et des données. La politique de cohésion présente une forte dimension urbaine, un financement spécifique étant prévu pour le développement urbain, les actions innovatrices urbaines et les échanges en matière de politique entre les villes. La proposition de la Commission européenne concernant le prochain cadre financier pluriannuel pour la période 2021-2027 [COM(2018) 321 final] contient des exigences en matière de «concentration thématique et d’affectation urbaine». L’un des cinq objectifs stratégiques prioritaires vise à rapprocher l’Europe des citoyens en encourageant le développement durable et intégré des zones urbaines, rurales et côtières et les initiatives locales.

Au niveau mondial, ONU-Habitat a lancé son Nouveau programme pour les villes en 2016. L’objectif de développement durable (ODD) nº 11 des Nations unies cible les villes et les établissements humains.

En 2011 et 2012, les travaux de la direction générale de la politique régionale et urbaine (DG REGIO) de la Commission européenne, d’Eurostat et de l’OCDE ont abouti à l’introduction d’une nouvelle définition harmonisée des villes et des zones qui les entourent.

  • Une ville se compose d’une ou plusieurs unités administratives locales (LAU) dont la majorité de la population vit dans un centre urbain d’au moins 50 000 habitants.
  • Une grande ville est une notion se rapprochant de celle de centre urbain lorsque celui-ci s’étend au-delà des frontières administratives de la ville.
  • Une zone urbaine fonctionnelle se compose de la ville et de sa zone de navettage.

L’UE mène un exercice spécifique de collecte de données sur les villes (en anglais) entrepris par les offices nationaux de statistique, la DG REGIO et Eurostat. Cet exercice fournit des statistiques sur toute une série d’aspects socio-économiques concernant la vie urbaine dans près d’un millier de villes réparties dans l’ensemble de l’Union européenne; par ailleurs, des données ont également été recueillies pour des villes de Norvège, de Suisse et de Turquie. Il convient de noter que, lors de la comparaison des statistiques de différentes villes, des différences considérables peuvent être observées en ce qui concerne les dernières périodes de référence pour lesquelles des données sont disponibles.

Ces statistiques urbaines fondées sur les LAU offrent un large éventail d’informations pour évaluer la qualité et le niveau de vie des citadins, qui complètent les statistiques régionales. L’exercice de collecte des données inclut plusieurs variables/indicateurs, des statistiques étant collectées sur la démographie, le logement, la santé, la criminalité, le marché du travail, les disparités de revenus, les qualifications professionnelles, l’environnement, le climat, l’infrastructure culturelle et les habitudes de déplacement. Parallèlement à cet exercice de collecte des données annuel régulier, la direction générale de la politique régionale et urbaine de la Commission européenne fait réaliser, tous les trois ans, un sondage d’opinion concernant la qualité de vie dans les villes européennes.

Dans la présente édition de l’Annuaire régional d’Eurostat, les statistiques sur les villes européennes sont présentées dans un chapitre spécifique sur les villes européennes.

Graphique 1: Ville et typologies connexes — exemple pour Milan
Source: Eurostat

Pour en savoir plus:

Methodological manual on city statistics, Eurostat (2017; en anglais)

Methodological manual on territorial typologies, Eurostat (2018; en anglais)

Bref guide de lecture

Couverture et actualité

L’Annuaire régional d’Eurostat contient des statistiques sur les États membres de l’Union européenne et, lorsqu’elles sont disponibles, des données sont présentées également pour les pays de l’AELE (Islande, Liechtenstein, Norvège et Suisse) et les pays candidats (Monténégro, Macédoine du Nord, Albanie, Serbie et Turquie). Les désignations employées et la présentation du contenu au moyen de cartes, de tableaux et de graphiques n’expriment en aucun cas l’avis de l’UE au sujet du statut juridique de pays, de territoires ou de zones ou de leurs autorités, ni au sujet de la délimitation de leurs frontières ou de leurs limites.

Les descriptions géographiques utilisées pour regrouper des États membres de l’Union, telles que «du Nord», «oriental», «méridional» et «occidental», ne se veulent pas des catégorisations politiques. Ces références sont plutôt utilisées pour définir la localisation géographique d’un ou de plusieurs des États membres de l’Union européenne, tels qu’indiqués dans le domaine «Géographie» d’Eurovoc, le thésaurus multilingue de la Commission européenne. Les États membres du Nord sont souvent différenciés entre les États membres baltes (Estonie, Lettonie et Lituanie) et les États membres nordiques (Danemark, Finlande et Suède).

Les données qui alimentent l’Annuaire régional d’Eurostat proviennent d’un large éventail d’enquêtes et de collectes de données. Dès lors, la dernière année de référence peut varier d’un chapitre à l’autre, chaque chapitre s’attachant à présenter les données les plus récentes. En général, les données de 2018 sont issues de l’enquête sur les forces de travail (utilisées dans les chapitres sur l’éducation et la formation ou le marché du travail) et de l’enquête sur la société de l’information (utilisées dans le chapitre sur l’économie et la société numériques). Dans les autres cas, la période de référence la plus fréquente est 2017, qui est généralement la dernière année pour laquelle des informations sont disponibles dans la plupart des autres chapitres, par exemple les chapitres sur la population (avec cependant quelques données du 1er janvier 2018), l’économie, le tourisme, les transports (certaines données portent sur l’année 2016) ou l’agriculture. Il convient de noter qu’il est possible que le site web d’Eurostat présente des données plus récentes, vu que les données sont collectées et traitées en continu (ce qui donne lieu à des mises à jour et à l’ajout de nouvelles périodes de référence tout au long de l’année).

Les ensembles de données régionales figurant sur le site web d’Eurostat comprennent généralement des données nationales accompagnant les informations régionales. Ainsi, les données régionales et nationales peuvent être consultées via un code de données en ligne unique. Le(s) code(s) de données en ligne indiqué(s) en dessous de chaque tableau, graphique et carte permet(tent) aux utilisateurs de repérer les données les plus récentes.

Les données d’Eurostat sont publiées avec des métadonnées qui fournissent des informations générales sur chaque source, ainsi que des informations spécifiques (attributs) pour les cellules de données individuelles. Les attributs fournissent des informations sur le statut des données, en décrivant par exemple si les données sont estimées, provisoires ou prévisionnelles. Ces attributs ont été convertis en notes de bas de page qui apparaissent sous chaque graphique ou carte tandis qu’ils sont présentés en italique dans les tableaux.

Présentation des données

Afin d’améliorer la lisibilité, seules les informations les plus significatives ont été incluses sous forme de notes de bas de page sous les cartes, les tableaux et les graphiques. En plus des notes de bas de page, les formatages et symboles suivants sont utilisés dans les tableaux, le cas échéant:

  • italique: la valeur des données est estimée, provisoire ou prévisionnelle (et est susceptible de changer);
  • ':' valeur non disponible, confidentielle ou peu fiable;
  • '–' : sans objet.

Le cas échéant, les ruptures de série sont indiquées dans les notes de bas de page figurant sous chaque carte, tableau ou graphique. Dans l’ensemble de l’Annuaire régional d’Eurostat, «milliard» est utilisé pour désigner «mille millions» et «billion» pour désigner «mille milliards».

Sources des données pour les tableaux et les cartes

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