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À Luxembourg, la hausse de la population prévue pour les trois prochaines décennies est considérable: en 2050, la population devrait s’élever à 193 000 personnes, soit 81 % de plus qu’en 2020. Esch-sur-Alzette devrait connaître une augmentation similaire (environ 78 %) et atteindre 48 000 personnes, tandis qu’à Schengen, la tendance à la hausse est plus modérée: elle s’élèvera à 42 % d’ici le milieu du siècle.

Les recherches du JRC suggèrent que l’actuelle pandémie de COVID-19 et les mesures prises par les gouvernements pour y faire face pourraient remodeler les mouvements migratoires, modifier les routes migratoires et changer la composition des populations migrantes dans le monde entier.

L’Atlas est publié par le Centre de connaissances en matière de migration et de démographie du JRC. Il s’agit d’un outil de référence en ligne qui guide les décideurs politiques, les praticiens et le grand public à travers les complexités de la migration et de la démographie. Il rassemble des indicateurs relatifs à la migration, à l’asile, à l’intégration, à la démographie et au développement, provenant de plusieurs sources de données internationales, pour environ 200 pays.

Le rapport examine le secteur des métaux fabriqués en étudiant les capacités technologiques à l’origine d’éventuels marchés d’exportation sur lesquels le Luxembourg n’est pas actuellement présent, mais pourrait l’être à l’avenir.

L’analyse donne une nouvelle orientation à l’étude économique en se focalisant sur les composantes sous-jacentes des quantités agrégées, c’est-à-dire «ce» qu’un pays produit (dans quels secteurs industriels le pays est-il spécialisé?) plutôt que sur les quantités agrégées elles-mêmes, c’est-à-dire «combien» un pays produit (quel est le PIB du pays?). Elle va des prévisions des performances économiques des pays, en passant par une ventilation par secteurs industriels, à une analyse des capacités d’innovation jusqu’au niveau régional au moyen d’une résolution produit par produit.

Les exportations du Luxembourg vers les pays tiers se sont élevées à 46,1 millions d’euros et ont soutenu 193 000 emplois dans le reste de l’UE.

La base de données FIGARO est mise au point par le JRC et l’Office statistique de l’Union européenne (ESTAT) afin de contribuer à l’évaluation des incidences socio-économiques et environnementales des politiques de l’UE.

Dans les années 1980, les autorités luxembourgeoises ont créé un registre maritime national. Aujourd’hui, plus de 240 navires représentant une jauge brute d’environ 2 millions de tonnes battent pavillon luxembourgeois. Le Luxembourg est relié à la mer du Nord par voie ferroviaire, fluviale et routière, ce qui lui donne accès à trois ports de premier plan au niveau mondial: Rotterdam, Anvers et Zeebruges, tous situés à moins de 300 km.

Le pôle d’activité maritime luxembourgeois contribue au développement du secteur maritime et des services liés au transport maritime du Luxembourg au moyen de stratégies de communication, tant au Luxembourg qu’à l’étranger. 41 entreprises et organisations participent actuellement au projet.

Le rapport 2021 de la Commission européenne donne un aperçu des performances des secteurs économiques liés aux océans et à l’environnement côtier. Les experts du JRC ont contribué à la modélisation et à l’analyse de thèmes tels que le changement climatique, la pollution marine et autres effets humains, le capital naturel marin et les services écosystémiques, les tendances des secteurs existants et émergents, et les répercussions de la COVID-19.

Hébergés sur la plateforme de l’Académie de l’UE, ces cours en ligne gratuits fournissent les connaissances et les outils nécessaires pour lutter contre les menaces environnementales.

Le cours met la biodiversité au premier plan, en examinant de plus près les espèces exotiques envahissantes (EEE). Les EEE sont des plantes et des animaux non indigènes qui nuisent aux espèces indigènes, aux écosystèmes et même à la santé humaine. La détection et le signalement de ces organismes sont essentiels pour éviter que ces derniers ne provoquent de nouveaux dommages.

Grâce à des vidéos, à des activités pratiques, à des jeux et à des applications mobiles, les élèves participent à des projets scientifiques citoyens et apprennent à surveiller ces organismes nuisibles, soutenant ainsi les réglementations et les pratiques de l’UE.

Mis au point par les scientifiques du JRC en collaboration avec des professeurs, l’outil est organisé en modules, se prêtant à une approche d’apprentissage mixte qui convient aux élèves, aux éducateurs voulant améliorer leurs techniques d’enseignement ou à toute personne désireuse de découvrir la réalité de la recherche scientifique et de contribuer à tenir ces espèces exotiques à distance. Consultez le site web pour vous abonner!

De nombreux composés médicinaux et toxiques sont testés sur des animaux avant d’être considérés comme étant sans danger pour l’usage humain. Les animaux sont également utilisés dans la recherche fondamentale et appliquée. Toutefois, les expérimentations animales peuvent être coûteuses et leur causer des souffrances, d’autant que les résultats ne sont pas toujours un succès sur les humains.

Les professeurs auront la possibilité d’explorer les nouvelles technologies qui pourraient rendre l’utilisation des animaux à des fins scientifiques inutile à l’avenir. Le CLOM les guidera à travers les principes des «trois R», au moyen de nombreux exemples pratiques sur la manière de les aborder en classe, de nourrir l’esprit critique et les compétences des élèves en matière de débat, d’enrichir leur éducation aux données et d’améliorer leur compréhension de la science. Le cours, qui est gratuit, débutera le 13 septembre et s’adressera plus particulièrement aux professeurs de sciences de la vie (biologie) de l’enseignement secondaire. Néanmoins, les professeurs d’autres disciplines, tout comme les parties prenantes dans le domaine de la science et du bien-être des animaux et les décideurs politiques, sont les bienvenus.

Le projet est promu par le laboratoire de référence de l’Union européenne pour trouver des alternatives en matière d’expérimentation animale (EURL ECVAM). Ce laboratoire est basé sur le site du JRC, à Ispra (Italie). Au cours des 30 dernières années, il a élaboré, validé et promu des méthodes scientifiques pour remplacer l’expérimentation animale. Ses chercheurs repoussent les limites de la science afin de trouver de nouvelles méthodes qui, à terme, rendront l’expérimentation animale obsolète dans l’UE.