Statistics Explained

Statistiques sur la structure des exploitations agricoles

Revision as of 15:57, 16 January 2018 by Rosswen (talk | contribs) (→‎Contexte)
Données extraites en décembre 2015. Données plus récentes: Informations supplémentaires Eurostat, Principaux tableaux et Base de données. Mise à jour prévue de l’article: décembre 2018.
Graphique 1: Indicateurs clés — part du total de l'UE-28, 2013
(en %)
Source: Eurostat (ef_kvaareg)
Graphique 2: Superficie agricole utilisee moyenne par exploitation, 2010 et 2013 (1)
(en hectares)
Source: Eurostat (ef_kvaareg)
Tableau 1: Production, main-d'œuvre et cheptel, 2007–13
Source: Eurostat (ef_kvaareg)
Graphique 3: Part des travailleurs réguliers dans la main-d'œuvre agricole et répartition en fonction de l’intensité de travail, 2013
(en %)
Source: Eurostat (ef_lflegaa) et (ef_lfwtime)
Graphique 4: Superficie appartenant aux exploitations agricoles, 2013 (1)
(en %)
Source: Eurostat (demo_r_d3area) et (ef_oluft)
Graphique 5: Répartition de la superficie agricole utilisée, 2013
(en %)
Source: Eurostat (ef_oluft)
Graphique 6: Superficie agricole utilisée par utilisation des sols, UE-28, 2013 (1)
(en % de la superficie agricole utilisée)
Source: Eurostat (ef_oluft)

La structure de l’agriculture dans les États membres de l’Union européenne (UE) varie en fonction de différences géologiques, topographiques, climatiques et en matière de ressources naturelles, ainsi que du fait de la diversité des activités régionales, de l’infrastructure et des habitudes sociales. L’enquête sur la structure des exploitations agricoles, également connue sous le nom d’ESEA, permet d’évaluer la situation agricole dans l’UE, en suivant les tendances et les évolutions que connaît la structure des exploitations agricoles, tout en modelant l’impact des événements extérieurs ou des propositions politiques.

Le présent article fournit des statistiques tirées de l’enquête la plus récente sur la structure des exploitations agricoles, menée en 2013, et il établit plusieurs comparaisons entre ces données et celles issues des résultats du recensement de 2009 ou 2010 et de la précédente enquête, réalisée en 2007. Il est important de préciser que des changements d’ordre méthodologique et législatif sont intervenus entre les enquêtes de 2007 et 2009 ou 2010.

Principaux résultats statistiques

La taille de l’exploitation agricole

En 2013, il y avait 10,8 millions d’exploitations agricoles au sein de l’UE-28. Une analyse par dimension économique révèle que parmi elles, 6,5 millions (soit 59,8 %) avaient une production standard supérieure à 2000 euros. La superficie agricole utilisée (SAU) dans l’UE-28 était approximativement de 175 millions d’hectares (soit environ 40,0 % de la superficie totale), la taille moyenne d’une exploitation agricole se situant donc à 16,1 hectares.

En termes de superficie agricole utilisée, la France et l’Espagne avaient les parts les plus importantes des terres agricoles de l’UE-28, avec respectivement 15,9 % et 13,3 %, tandis que le Royaume-Uni et l’Allemagne avaient à peine moins de 10 % des parts — voir graphique 1. En revanche, c’est la Roumanie qui présentait le nombre le plus élevé d’exploitations agricoles (3,6 millions), soit un tiers (33,5 %) de toutes les exploitations de l’UE-28. La Pologne occupait la seconde place en pourcentage du nombre d’exploitations agricoles (13,2 %), devançant ainsi l’Italie (9,3 %) et l’Espagne (8,9 %).

La différence entre les parts du nombre d’exploitations et celles de la surface agricole utilisée (tel que présenté dans le graphique 1) reflète la taille moyenne des exploitations agricoles, qui est représentée sur le graphique 2. En 2013, la taille moyenne des exploitations agricoles était de loin la plus élevée en République tchèque (133 hectares), la seconde moyenne la plus élevée se situant à 94 hectares pour le Royaume-Uni. Six États membres ont communiqué une taille moyenne inférieure à 10,0 hectares, les moyennes les plus basses ayant été enregistrées en Roumanie, à Chypre et à Malte.

La taille moyenne des exploitations agricoles dans l’UE-28 a augmenté entre 2010 et 2013, passant de 14,4 hectares à 16,1 hectares par exploitation. En cause, une chute de 11,5 % du nombre d’exploitations et une baisse de 0,7 % de la surface agricole utilisée. Entre 2010 et 2013, la plupart des États membres de l’Union ont enregistré une augmentation de leur surface agricole utilisée par exploitation, la République tchèque étant le seul pays à avoir subi une baisse conséquente. Des diminutions de moindre importance ont été enregistrées en Grèce et en Irlande.

En plus de déterminer la taille des exploitations selon leur surface agricole, il est possible de déterminer la dimension économique des entreprises agricoles en se référant à leur production standard, c’est-à-dire la valeur de la production agricole d’après le prix reçu par les producteurs. D’après cette mesure, la production agricole de l’UE-28 a augmenté (en prix courants) de 7,9 % entre 2007 et 2010, et elle a de nouveau augmenté de 7,5 % entre 2010 et 2013 (voir tableau 1). Dans la plupart des États membres, ces deux périodes ont été synonymes de croissance, bien que la Grèce et Chypre aient vu la valeur de leur production chuter de plus de 10 % entre 2007 et 2010. L’Italie a connu le même déclin entre 2010 et 2013, et des baisses moins significatives ont été observées en Allemagne et en Irlande sur la période 2007-2010 (alors que la production suédoise restait inchangée), ainsi qu’en Croatie, en Autriche et au Portugal sur la période 2010-2013. Sept États membres ont connu une croissance supérieure à 20 % entre 2007 et 2010, contre quatre entre 2010 et 2013, la Lettonie étant le seul État membre à avoir enregistré un tel niveau de croissance sur les deux périodes.

La main-d’œuvre agricole

La main-d’œuvre agricole totale de l’UE-28 équivalait à 9,5 millions d’unités de travail annuel en 2013, dont 8,7 millions (92 %) étaient des travailleurs réguliers (voir le graphique 3). Sur la période 2007-2013, le changement global dans la main-d’œuvre agricole de l’UE-28 a consisté en une diminution de 2,3 millions d’unités de travail annuel, équivalant à une baisse de 19,8 %. Entre 2007 et 2013, le nombre de travailleurs agricoles a chuté dans presque tous les États membres, à l’exception de l’Irlande, de la Hongrie et de Malte, où leur nombre a augmenté. Exprimées en pourcentage, les baisses les plus importantes ont été constatées en Slovaquie, en Italie, à Chypre et en Bulgarie, où la main-d’œuvre a diminué d’au moins un tiers.

Les travailleurs réguliers constituaient plus de quatre cinquièmes de la main-d’œuvre agricole dans tous les États membres de l’UE, la part la plus basse ayant été constatée en Espagne à 81 %, tandis qu’en Lettonie la quasi-totalité des personnes composant la main-d’œuvre agricole étaient des travailleurs réguliers. Chez les travailleurs réguliers des différents États membres de l’Union, de grandes disparités ont été constatées dans la répartition entre les travailleurs à temps plein et les autres. Les travailleurs agricoles à temps plein constituaient plus de la moitié de la main-d’œuvre agricole dans 11 États membres, avec un record de presque trois quarts (74 % au Luxembourg). En comparaison, les travailleurs à temps plein représentaient une part de la main-d’œuvre agricole comprise entre un quart et un cinquième en Autriche, en Croatie et en Lituanie, cette part descendant jusqu’à 7 % en Roumanie.

Unités de gros bétail

En 2013, le cheptel de l’UE-28 atteignait 130 millions d’unités de gros bétail (UGB). Sur la période 2007-2013, le cheptel total de l’UE-28 a diminué de 6,6 millions d’UGB, soit une perte de 4,8 % (voir tableau 1). Au total, 21 États membres ont enregistré une baisse du nombre de têtes sur cette période, Chypre et Malte ayant perdu presque 30 % de leur cheptel. Pour les sept États membres qui avaient un cheptel plus important en 2013 qu’en 2007, les augmentations enregistrées étaient inférieures à 1,0 % en Irlande, au Portugal et en Espagne, autour de 2,0 % en Finlande et en Allemagne, et tout juste en dessous de 3,0 % au Luxembourg et aux Pays-Bas.

Utilisation des superficies agricoles

En 2013, la surface agricole utilisée couvrait deux cinquièmes (40,0 %) de la surface totale de l’UE-28. Les exploitations agricoles possédaient 9 % supplémentaires de la surface totale, utilisées à d’autres fins que l’agriculture (2,3 %) ou laissées sous forme de zones boisées (6,7 %) — voir graphique 4. En Irlande, la surface agricole utilisée a augmenté jusqu’à presque trois quarts (72,5 %) de la superficie totale, et cette proportion était supérieure à deux tiers (70,5 %) au Royaume-Uni. En revanche, la surface agricole utilisée représentait moins d’un dixième de la superficie totale en Suède (7,5 %) et en Finlande (7,4 %). Ces deux États nordiques étaient les seuls États membres de l’Union dans lesquels les zones boisées appartenant à des exploitations agricoles représentaient une part plus importante de la superficie totale que les terres utilisées pour l’agriculture.

Les terres arables (qui comprennent les terres à céréales et les autres terres arables) constituaient trois cinquièmes (59,8 %) de la surface agricole utilisée dans l’UE-28 en 2013 (voir graphique 5), et les prairies permanentes (composées de pâturages, prés et pâturages pauvres) en représentaient à peine plus d’un tiers (34,2 %). Les cultures permanentes, telles que les vignes, les oliviers et les arbres fruitiers, représentaient 5,9 % du total, les 0,2 % restants étant principalement attribués à des jardins potagers.

L’importance relative des terres arables variait grandement d’un État membre à l’autre, avec une part de la surface agricole utilisée totale allant de 35,6 % en Slovénie à 81,6 % en Hongrie, les pays nordiques comme la Suède (85,1 %), le Danemark (91,5 %) et la Finlande (98,5 %) présentant une part plus importante, à l’inverse du Portugal (30,2 %) et de l’Irlande (21,0 %). Au Luxembourg, en Slovénie, au Royaume-Uni et en Irlande, la part des prairies permanentes et des prés utilisés pour l’élevage de bétail (notamment pour l’élevage laitier et ovin) dépassait 50 % de la surface agricole utilisée, contre moins de 2 % à Chypre, en Finlande et à Malte. Les cultures permanentes utilisaient plus de 10 % de la SAU dans les États membres méridionaux spécialisés dans la culture de vignes, d’olives et d’agrumes, notamment à Chypre (25,0 %).

Le graphique 6 présente une analyse plus détaillée de l’utilisation des terres agricoles au sein de l’UE-28. Plus de la moitié des terres arables était réservée à la culture de céréales, ce qui représentait un tiers (33,2 %) de la SAU totale en 2013. Les prairies permanentes étaient principalement des pâturages et des prés, qui représentaient 21,9 % de la SAU totale, contre une part de 11,4 % pour les pâturages pauvres. Les prairies permanentes non utilisées pour la production mais éligibles pour des subventions représentaient 0,8 % de la SAU totale.

Sources et disponibilité des données

Une enquête exhaustive sur la structure des exploitations agricoles est réalisée par les États membres tous les dix ans (la version intégrale étant le recensement agricole) et des enquêtes intermédiaires par échantillonnage ont lieu trois fois entre ces enquêtes de base. Les États membres de l’Union collectent des informations auprès des différentes exploitations agricoles, à propos:

  • de l’utilisation des terres;
  • du nombre de têtes de bétail;
  • du développement rural (par exemple autres activités à but lucratif);
  • de la gestion et de la main-d’œuvre agricole employée (notamment l’âge, le sexe et le lien avec l’exploitant).

Les données de l’enquête sont agrégées à différents niveaux géographiques (États membres, régions et, pour les enquêtes de base, districts également) et organisées par classe de taille, statut de la zone, statut juridique de l’exploitation, zone d’objectif et type d’exploitation.

En préparation de l’enquête 2010, une nouvelle base juridique a été élaborée: le règlement (CE) n° 1166/2008 du Parlement européen et du Conseil du 19 novembre 2008 relatif aux enquêtes sur la structure des exploitations et à l’enquête sur les méthodes de production agricole.

L’unité de base qui sous-tend l’enquête est l’exploitation agricole, unité technico-économique soumise à une gestion unique et ayant une activité de production agricole. Jusqu’en 2007, l’ESEA portait sur toutes les exploitations agricoles dont la superficie agricole utilisée (SAU) était supérieure ou égale à un hectare (ha) et sur les exploitations dont la SAU était inférieure à un hectare si leur production marchande dépassait un certain seuil. Conformément à la nouvelle législation, le seuil minimal fixé pour les exploitations agricoles est passé d’un à cinq hectares pour l’enquête de 2010. Le nouveau seuil de cinq hectares a été adopté par la République tchèque, l’Allemagne et le Royaume-Uni. Le seuil est passé à trois hectares au Luxembourg, à deux hectares en Suède et à un minimum de 3 000 euros de production standard aux Pays-Bas (pour de plus amples détails, voir ci-après).

La nouvelle législation a également modifié la couverture de l’enquête, qui est passée de 99 % de la marge brute standard (MBS) à 98 % de la SAU (terres communales exclues) et 98 % du cheptel. Les terres communales (terres partagées par plusieurs exploitations) ne sont pas incluses dans la SAU en Bulgarie, en Allemagne, en France, en Grèce, en Irlande, en Hongrie, en Slovénie et au Royaume-Uni. Dans tous les autres pays, soit elles n’existent pas soit elles ont été incluses dans l’enquête.

La production standard d’un produit agricole (culture ou élevage) est la valeur moyenne de la production agricole au prix au départ de l’exploitation, en euros par hectare ou par tête de bétail. Il y a un coefficient régional pour chaque produit, basé sur une valeur moyenne sur cinq ans. Jusqu’en 2007, l’enquête sur la structure des exploitations agricoles utilisait la marge brute standard pour classer les exploitations agricoles par orientation technico-économique et par taille économique, mais cette pratique a été remplacée par le concept de production standard pour le recensement de 2010. Il convient de signaler que la production standard exclut les paiements directs.

La main-d’œuvre agricole se compose de toutes les personnes ayant achevé leurs études obligatoires (ayant atteint l’âge de fin de scolarité obligatoire) qui, au cours des douze derniers mois qui ont précédé le jour de l’enquête, ont effectué des travaux agricoles pour l’exploitation agricole enquêtée. Les chiffres couvrent les exploitants, même s’ils ne travaillent pas pour l’exploitation, tandis que leurs conjoint(e)s ne sont comptabilisé(e)s que s’ils/elles effectuent des travaux agricoles pour l’exploitation. L’exploitant est la personne physique (exploitant unique ou groupe de personnes) ou la personne juridique (par exemple une coopérative ou une autre institution) pour le compte et au nom de laquelle l’exploitation est mise en valeur et qui est juridiquement et économiquement responsable de l’exploitation, c’est-à-dire qui en assume les risques économiques; pour les exploitations en groupement, seul l’exploitant principal (une personne) est comptabilisé. La main-d’œuvre agricole régulière comprend la main-d’œuvre familiale et la main-d’œuvre non familiale (régulière) employée en permanence. Une unité de travail annuel (UTA) correspond au travail d’une personne employée dans une exploitation agricole à temps plein. Le travail à temps plein est à considérer selon le nombre d’heures minimal imposé dans les dispositions nationales régissant les contrats de travail pour la qualification d’un emploi comme plein-temps. Si ces dispositions n’indiquent pas explicitement le nombre d’heures, le chiffre d’un minimum de 1 800 heures annuelles (225 journées de travail de huit heures) est retenu.

Contexte

La politique de développement rural vise à améliorer la compétitivité de l’agriculture et de la sylviculture, la qualité de l’environnement et de l’espace rural, la vie dans les zones rurales et la diversification des économies rurales. Comme l’agriculture s’est modernisée et comme l’industrie et plus récemment les services ont gagné en importance au sein de l’économie, l’agriculture est devenue une source d’emplois bien moindre. Par conséquent, l’accent est de plus en plus mis sur le rôle que les agriculteurs peuvent jouer dans le développement rural, notamment la sylviculture, la biodiversité, la diversification de l’économie rurale pour créer d’autres emplois et la protection de l’environnement dans les zones rurales.

La politique agricole commune (PAC) a subi de nombreuses réformes en vue de moderniser ce secteur d’activité et de mieux l’adapter au marché. Le 26 juin 2013, suite à près de deux ans de négociations entre la Commission européenne, le Parlement et le Conseil, un accord politique sur la réforme de la PAC a pu voir le jour. Derrière cet accord, la volonté était de parvenir à des changements en profondeur: rendre les paiements directs plus justes et plus écologiques, renforcer la position des exploitants dans la chaîne de production alimentaire, et faire de la PAC un outil plus transparent et plus efficace, tout en apportant des réponses aux défis de la sécurité alimentaire, du changement climatique, de la croissance et de l’emploi dans les zones rurales. Tous ces progrès coïncident avec les objectifs d’Europe 2020 en faveur d’une croissance intelligente, durable et inclusive. En décembre 2013, la dernière réforme de la PAC a été formellement adoptée par le Parlement européen et le Conseil. L’enquête sur la structure des exploitations agricoles continue à être adaptée afin d’essayer de fournir des données actuelles et pertinentes pour aider à analyser et suivre ces évolutions.

Voir aussi

Informations supplémentaires Eurostat

Publications

Principaux tableaux

Structure des exploitations agricoles: Données historiques (1990-2007) (t_ef)

Base de données

Structure des exploitations agricoles (ef)
Structure des exploitations agricoles - législation de 2008 (depuis 2005) (ef_main)
Variables clés sur les exploitations agricoles (ef_kv)
Tableaux synthétiques - Utilisation des sols des exploitations agricoles (ef_olu)
Tableaux synthétiques - Cheptel des exploitations agricoles (ef_ols)
Tableaux synthétiques - Main-d’œuvre des exploitations agricoles (ef_olf)
Utilisation des sols des exploitations agricoles - Terres arables (ef_ala)
Utilisation des sols des exploitations agricoles - Cultures permanentes, autres superficies agricoles, irrigation (ef_po)
Cheptel et cultures fourragères des exploitations agricoles (ef_lsf)
Main-d’œuvre des exploitations agricoles (ef_lf)
Autres activités lucratives de l’exploitation et soutien au développement rural (ef_oga)
Gestion et pratiques des exploitations agricoles (ef_mp)
Enquête sur les méthodes de production agricole (ESEA, 2010) (ef_pm)
Structure des exploitations agricoles - législation de 1998 (1990-2007) (ef_historic)

Section dédiée

Méthodologie / Métadonnées

Sources des données pour les tableaux et graphiques (MS Excel)

Autres informations

Législation importante

  • le règlement (CE) n° 1166/2008 du Parlement européen et du Conseil relatif aux enquêtes sur la structure des exploitations et à l’enquête sur les méthodes de production agricole (à compter de 2010)
  • le règlement (CE) n° 378/2014 du Parlement européen et du Conseil du 3 avril 2014 modifiant le règlement (CE) n° 1166/2008 concernant le cadre financier pour la période 2014-2018
  • le règlement (UE) n° 715/2014 de la Commission du 26 juin 2014 modifiant l’annexe III du règlement (CE) n° 1166/2008 du Parlement européen et du Conseil relatif aux enquêtes sur la structure des exploitations et à l’enquête sur les méthodes de production agricole, en ce qui concerne la liste des caractéristiques à couvrir dans l’enquête de 2016 sur la structure des exploitations

Législation d’application

  • le règlement (UE) n° 1200/2009 de la Commission portant sur la mise en œuvre du règlement (CE) n° 1166/2008 relatif aux enquêtes sur la structure des exploitations et à l’enquête sur les méthodes de production agricole (à compter de 2010)
  • le règlement (UE) n° 2015/1391 de la Commission modifiant le règlement (CE) n° 1200/2009

Législation pertinente et plus ancienne

  • le règlement (UE) n° 1242/2008 de la Commission portant sur l’établissement d’une typologie communautaire des exploitations agricoles (typologie de la production standard)
  • le règlement (CE) n° 571/88 du Conseil du 29 février 1988 portant sur l’organisation d’enquêtes communautaires sur la structure des exploitations agricoles entre 1988 et 1997
  • la décision (UE) n° 85/377/CEE de la Commission du 7 juin 1985 portant sur l’établissement d’une typologie communautaire des exploitations agricoles

Liens externes